25 novembre 2024 La Presse Canadienne Accueil, Nouvelles Québec a probablement surestimé le nombre de propriétés qui se trouveraient en zones inondables avec la modernisation de la cartographie, selon des fonctionnaires qui ont également voulu apaiser les inquiétudes que suscitent les nouveaux règlements, vendredi. En juin dernier, le ministère de l’Environnement estimait que trois fois plus de Québécois vivraient en zone à risque d’être inondée, selon la nouvelle façon de cartographier les zones inondables. Environ 22 000 logements au Québec sont présentement situés en zone inondable, cartographiée. Avec les
Le loyer moyen d’un appartement pourrait croître d’encore 27% d’ici trois ans dans la région de Montréal.
Jeudi, 4 avril 2024 14:14
MISE À JOUR Jeudi, 4 avril 2024 14:14
Une éventuelle baisse des taux d’intérêt et une lente reprise de la construction en 2024 ne parviendront pas à faire baisser les prix – bien au contraire –, tant dans le marché de la location que celui de l’achat, prévient la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL).
Dans son plus récent rapport prévisionnel, publié jeudi matin, la SCHL indique que la remontée espérée des mises en chantier dans la grande région de Montréal restera largement insuffisante pour répondre, entre autres, à la rapide croissance de la demande de logements.
Tension et forte hausse des loyers
En conséquence, loin de s’améliorer, le marché locatif demeurera plus que jamais sous tension avec des taux d’inoccupation qui atteindront de nouveaux planchers, et des hausses du loyer qui atteindront de nouveaux records.
En 2024, la SCHL prévoit que le loyer moyen d’un appartement de deux chambres (un 4 et demi) dans la région métropolitaine de recensement (RMR) de Montréal, croîtra de 8,5% pour s’établir à 1190$ par mois (comparativement à 1096$ en 2023).
Mais comme le taux d’inoccupation continuera de diminuer entre-temps, l’organisme fédéral prévient que quoi qu’il arrive sur le front des taux d’intérêt et de la construction, cette croissance des loyers devrait se poursuivre de plus belle par la suite. Ainsi, le loyer moyen atteindrait 1290$ par mois en 2025 et 1390$ par mois en 2026.
Comparativement à l’an dernier (1096$ par mois), on parle donc d’une croissance du loyer moyen en trois ans (2023 à 2026) de 294$ par mois (ou 3528$ par année), soit l’équivalent de 27% en trois ans dans la grande région de Montréal, incluant les Basses-Laurentides et une bonne part de la Montérégie.
Pas de recul non plus pour les maisons et condos
Malgré une très légère reprise de la construction résidentielle en 2024 et un regain d’activité dans le marché de la revente, la SCHL ne prévoit pas non plus de recul des prix pour les aspirants propriétaires de la région de Montréal, qu’ils s’intéressent à une maison individuelle ou à un appartement en copropriété.
Après avoir connu une hausse d’un peu plus de 50% durant la période de 2019 à 2022, le prix moyen des résidences unifamiliales n’a fléchi que de 2% en 2023, explique la SCHL.
Tout indique que la baisse anticipée des taux d’intérêt, dans un marché où la construction de maisons neuves demeure rare, aura pour effet de stimuler la demande à l’avantage des vendeurs.
En 2023, le prix moyen d’une propriété s’établissait à 600 501$. En 2024, la SCHL prévoit qu’il variera entre 606 200$ et 637 900$.
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