La réponse courte: pas toujours. Tout dépend en effet des clauses incluses dans la promesse d’achat.
Si l’acheteur dépose une promesse d’achat conditionnelle à son financement ou à l’inspection de la maison qu’il convoite, il se peut qu’il puisse reculer… s’il est incapable d’obtenir du financement ou si le rapport d’inspection fait état de plusieurs problèmes avec la maison.
Mais encore là, on ne peut se désister sous prétexte que la couleur des murs s’agence mal avec notre mobilier ou encore parce qu’on vient de réaliser que le placard de la chambre principale ne nous permettra pas d’y ranger tous nos vêtements.
«Il faut que ce que l’on apprend dans le rapport soit significatif, ça c’est du cas par cas, indique Nathalie Sansoucy, agente d’information au service téléphonique 1-800-NOTAIRE, offert par la Chambre des notaires du Québec. La loi ne dit rien à ce sujet.»
Elle rappelle également que l’acheteur, une fois qu’il a le rapport d’inspection en main, doit respecter les délais et donner une réponse avant une date precise.
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