Comment se porte le marché immobilier québécois en ce début 2016 ? Il prend du mieux, avec un regain des ventes surprenant, notamment dans le segment des unifamiliales à Québec (+ 24 %). À l’opposé, certaines villes comme Sherbrooke ont enregistré des baisses de prix marquées. Tour d’horizon.
Signe additionnel que le marché immobilier québécois poursuit son « atterrissage », le nombre de propriétés à vendre a cessé de gonfler au Québec. On retrouvait le mois dernier 79 094 résidences à vendre par l’entremise des courtiers, un nombre stable par rapport à janvier 2015, qui demeure toutefois élevé selon les standards historiques. Le nombre de nouvelles inscriptions a par ailleurs reculé de 4 % en janvier, ce qui laisse poindre un lent rééquilibrage entre l’offre et la demande. Le marché reste pour l’instant largement à l’avantage des acheteurs, qui bénéficient d’un pouvoir de négociation des prix élevé.
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