Il suffit d’aller se promener à Vaudreuil, Mirabel ou Beloeil pour le constater: l’attrait de la maison unifamiliale demeure bien réel pour les jeunes familles.
Dans ces anciennes régions agricoles, transformées en banlieues montréalaises en raison de l’étalement urbain, les maisons récentes –et souvent indissociables les unes des autres– s’étalent à perte de vue.
Après des années fastes au milieu des années 2000, l’âge d’or de la maison neuve semble toutefois tirer à sa fin au Québec.
En fait, la construction d’unifamiliales est tombée en 2015 à un creux «historique » dans la province, indique la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL) dans un bilan publié lundi.
Sur les 33 029 mises en chantier enregistrées l’an dernier au Québec, à peine 6424 étaient des maisons individuelles.
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