LE PROBLÈME
Après plusieurs années à habiter leur immeuble de quatre logements, dans un quartier central de Québec, Nadia et Steve ont envie d’une maison de banlieue avec un plus grand terrain. Ils ont commencé à magasiner.
Quand ils auront trouvé leur nouveau nid, doivent-ils conserver leur propriété à revenus ? Le couple a d’intenses discussions à ce sujet. « Mon conjoint préférerait vendre, parce que ça l’embête de devoir s’occuper de la propriété et des locataires, explique Nadia. Mais moi, je trouve que c’est un levier financier rentable, et je suis prête à accepter quelques désagréments si ça vaut la peine. »
Actuellement, ils occupent un logement de six pièces et utilisent un local commercial, où Nadia reçoit des clients, comme consultante, à temps partiel. Ces deux locaux leur permettraient d’encaisser des revenus locatifs substantiels, s’ils gardent l’édifice.
Dans sa décision, le couple doit aussi tenir compte du fait qu’il a peu épargné pour sa retraite jusqu’à maintenant. Nadia, qui travaille à temps partiel dans le réseau de la santé, cotise à un régime de retraite à prestations déterminées, qui lui procurera une petite rente, mais n’a pas d’autres réserves. Elle voudrait commencer à garnir son REER. Elle a cependant l’intention de poursuivre son travail de consultante à la retraite, pour continuer d’avoir un petit revenu.
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