
CHRONIQUE de Gérard Bérubé LEDEVOIR (23 octobre 2021)
L’autre pénurie, celle de l’offre de propriétés résidentielles, nourrit une hyperinflation des prix de l’immobilier dont le rythme de croissance pourrait tout au plus ralentir l’an prochain. Cela ne vaut toutefois qu’en l’absence d’une hausse plus forte que prévu des taux hypothécaires. L’accès à la propriété, lui, est appelé à se détériorer davantage.
Publications récentes
FINANCES LES HAUTS ET LES BAS D’UNE PROPRIÉTAIRE D’IMMEUBLES À REVENUSLa pandémie a bouleversé le marché immobilierLe prix et l’abordabilité comme principaux facteurs pour l’achat d’une propriété8e hausse consécutive du taux directeur: un autre tour de vis qui fait malLégère hausse des ventes de maisons et baisse des inscriptions au CanadaPause de trois jours pour les acheteurs de maisons après la signature d’un accordMarché immobilier : à quoi s’attendre en 2023?Le prix des unifamiliales a baissé de 14%Vers un retour à l’équilibre du marché de la reventeLe marché immobilier de Québec stable malgré l’inflation
Tous les articles