«Nous entrevoyons un marché équilibré pour la copropriété vers la fin de l’année et plus rapidement encore pour l’île de Montréal», souligne un rapport du Groupe Altus.
De fait, non seulement il n’y a pas de «bulle immobilière» dans la grande région de Montréal, mais le marché du condo ne sera plus à l’avantage des acheteurs pour bien longtemps. Du moins, dans la plupart des secteurs de la métropole et de ses banlieues.
Le Groupe Altus calcule que le nombre d’unités lancées dans les douze derniers mois a augmenté de 14%. Toutefois, les projets en lancement connaissent «d’excellentes performances».
La demande a augmenté de 30% par rapport au même trimestre l’an dernier, alors que l’offre a diminué de 7,1% et que le nombre d’unités invendues a chuté de 14%.
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