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Malgré les nouvelles règles plus restrictives imposées par Ottawa au cours des dernières semaines, l’immobilier ne se dirige pas vers un « atterrissage brutal » au Canada. Et Montréal, deuxième marché en importance au pays pour le nombre de transactions, devrait se situer dans la bonne moyenne au chapitre de la croissance des prix d’ici 2021.

C’est du moins ce que prévoit l’agence de notation Moody’s, dans un rapport exhaustif publié plus tôt cette semaine. Le document préparé par l’économiste Andres Carbacho-Burgos fait le tour de plusieurs questions importantes, comme la surévaluation des prix dans les différentes villes canadiennes par rapport à leur moyenne historique.

Sans surprise, Toronto et Vancouver affichent les taux de surévaluation les plus élevés, soit 29,7 % et 61,8 % respectivement.

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