Guillaume est en pleines rénovations. Comme son entrepreneur s'occupe de tout, il a été très surpris de recevoir une lettre recommandée d'un fournisseur de matériaux. Dans un jargon juridique plutôt opaque, ce fournisseur l'informe « de son intention d'exercer son privilège sur l'immeuble dont [il est] propriétaire, advenant le défaut [de l'entrepreneur] de payer sa créance à échéance ».
Rien de très rassurant. « Je doute de la validité légale de cette démarche. Qu'en pensez-vous ? », me demande-t-il.
En fait, il n'y a rien d'illégal dans cette lettre. Le fournisseur avertit simplement le propriétaire de la possibilité qu'il prenne une hypothèque légale sur sa maison advenant le cas où il ne serait pas payé par l'entrepreneur.
Publications récentes
FINANCES LES HAUTS ET LES BAS D’UNE PROPRIÉTAIRE D’IMMEUBLES À REVENUSL’épargne n’est pas une solution de rechange à la crise hypothécaire qui s’annonceSelon les Canadiens âgés de 18 à 38 ans L’accession à la propriété, un bon investissementLes ventes de maisons augmentent de 9,3 % au mois d’aoûtUne baisse de 0,25% des taux d’intérêt fortement attendueMaisons inondées: quelles sont les conséquences pour les résidences qui étaient en vente?Un environnement plus stabilisé se profile-t-il à l’horizon pour l’immobilier commercial ?Le prix moyen pour une maison s’élève à 565 955$Krach en vue?La banque centrale du Canada réduit son taux directeur à 4,5%
Tous les articles
