Guillaume est en pleines rénovations. Comme son entrepreneur s'occupe de tout, il a été très surpris de recevoir une lettre recommandée d'un fournisseur de matériaux. Dans un jargon juridique plutôt opaque, ce fournisseur l'informe « de son intention d'exercer son privilège sur l'immeuble dont [il est] propriétaire, advenant le défaut [de l'entrepreneur] de payer sa créance à échéance ».
Rien de très rassurant. « Je doute de la validité légale de cette démarche. Qu'en pensez-vous ? », me demande-t-il.
En fait, il n'y a rien d'illégal dans cette lettre. Le fournisseur avertit simplement le propriétaire de la possibilité qu'il prenne une hypothèque légale sur sa maison advenant le cas où il ne serait pas payé par l'entrepreneur.
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