Pourquoi une mise de fonds de 20% peut ne pas en valoir la peine. C’est ainsi que le chroniqueur de finances personnelles Rob Carrick titrait son texte jeudi dernier. À moins d’être un lecteur régulier du Globe & Mail, vous ne l’avez sans doute pas vu passer.
Parlons-en un peu. À première vue, acheter une maison à l’aide d’une hypothèque moins élevée qui ne nécessite pas de coûteuse assurance de la SCHL, c’est le plan idéal. Et pourtant…
Dans sa chronique, Carrick nous rappelle que les premiers acheteurs ne sont souvent pas récompensés pour avoir accumulé la mise de fonds de 20% nécessaire pour éviter l’assurance hypothécaire. Un tel effort est considérable, particulièrement dans les marchés où les prix de l’immobilier sont au zénith, comme à Vancouver et à Toronto. Et loin derrière, à Montréal.
Cet effort libère l’acheteur de l’obligation d’assurer son prêt auprès de la SCHL (ou Genworth et Canada Guaranty), donc de payer une prime qui se situe entre 2,8% et 4% du prêt hypothécaire. Toutefois, comme les hypothèques assurées sont moins risquées pour les prêteurs que les hypothèques conventionnelles (non assurées), ces dernières sont systématiquement accompagnées d’un taux plus élevé.LIRE LA SUITE ICI...
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